Objectif emploi : gagner la course ! …

… Sans s’essouffler… Ou les péripéties d’un coureur vers l’emploi.

Voici le début d’année, synonyme de « bonnes résolutions » ! Aussi, nous souhaitons aux dynamiciens d’être en forme !
Alors pourquoi ne
pas introduire la pratique sportive pour être encore plus fort dans sa recherche d’emploi ?

Cette pratique enseigne à garder le cap, le corps possédant aussi sa « mémoire physique » appelée kinesthésique, qui enseigne au mental ! Ainsi, le marathon, le semimarathon, le trail ou même le vélo sur route, nous remettent en selle pour un nouveau challenge à structurer. Cependant, si le monde du travail et le sport sont structurants, les structures s’appellent entre elles et que ces structures mentales s’appellent entre elles, il convient d’abord de croire en sa propre valeur afin de s’épanouir.

Alors qu’apprendre, que garder en mémoire afin d’avancer ? Et qu’estce que le sport de compétition, cette bataille contre soimême, cette endurance du corps et de l’esprit, enseigne au chercheur d’emploi ? Voyons comment nous pouvons trouver, dans les réjouissances sportives, un second souffle à nos aspirations.

La course à la recherche d’emploi : une question de timing et de préparation

Lorsqu’on est plongé dans la recherche d’emploi, l’on ne sait parfois pas comment continuer et quand on la commence, comment débuter. Certains paramètres sont à prendre en compte : la préparation est le maîtremot pour se rassurer au maximum et une bonne présentation de soi et de ses capacités rassure, à son tour, le recruteur. Pour préparer cette course, il convient d’avoir un planning d’entraînement comme pour la recherche d’emploi : avoir un but mais aussi un plan d’actions clair avec un timing précis pour être prêt le Jour J ce qui rassure et structure. Il faut savoir souffler un peu, de temps en temps afin de ne pas s’essouffler ou changer de paysage au moins, donc de cadre, pour faire sa recherche. Ainsi, on peut réfléchir à tout cela dans un coworking par exemple ou une bibliothèque, car le recherche d’emploi relève du sport cérébral : on réfléchit à ce que va nous coûter de grimper sur la montagne que l’on a en vue.

Parallèlement, tous les « outils de présentation » comptent : La publicité, par le biais de LinkedIn, attire les intéressés car le maillot c’est le profil LinkedIn en quelque sorte. Bien posséder et développer ce réseau social peut être intéressant en participant aux ateliers APEC dédiés aux réseaux sociaux. Le CV en plusieurs versions (chronologique, compétences, différentes langues au besoin) reste une publicité nécessaire afin de plébisciter un public intéressé : le réseau et le recruteur ! De même, une carte peut parfois s’avérer nécessaire lors de salons afin de laisser une trace de son originalité personnelle, certains recruteurs les demandant parfois. Il s’agit alors de laisser un
minicv sur carte de visite avec son cœur de métier, ses compétences phares et ses coordonnées.

Cependant semer ces cartes et toute cette vitrine sur LinkedIn et les réseaux serait vain s’il n’y avait une mise en pratique par l’exercice physique et mental : les actions à mener enclenchent la motivation.

Trouver son emploi : une question d’entraînement

Si les Gad permettent de se donner une idée de rythme pour cet entraînement ou du moins, de s’entraider les uns les autres afin de garder espoir et d’être dans l’action, la recherche de chaque emploi reste personnelle.

Et là, évidemment, il faut savoir garder ses esprits… et son sangfroid : peaufiner son discours, faire des entretiens fictifs pour pratiquer et évaluer ses dires, réseauter, nous mettent devant les failles possibles du chercheur d’emploi. Car le coureur se blesse parfois en comprenant que faisant son pitch, il outrepasse les une minute ; que devant ses entraîneurs, il se met à trébucher dans son discours. Se rassurer en communiquant reste alors nécessaire et dans ce sens, le benchmark est au chercheur ce que la consultation des anciens coureurs est au marathonien.

Envoyer des CV ciblés et candidatures spontanées, c’est comme s’encourager soimême un peu plus dans l’effort, se sponsoriser afin de décrocher des entretiens ou du moins s’y roder voire s’affuter pour répartir ses efforts dans le temps. Quel sportif n’a jamais regardé son chronomètre ? Notre chercheur d’emploi se donne aussi une idée de performance ou d’axes d’améliorations en regardant ses comparses performer dans leurs entretiens fictifs ou lors d’ateliers ou de formations multiples proposées par Dynamique Cadres, en partenariat avec Orange Solidarité, par exemple.

En effet, plus il est préparé, plus le jour de la course sera rapide, efficace et menée avec intelligence.

Le jour de la compétition :

Le poste de ses rêves à décrocher, le marathonien de l’emploi se lance, fonce ! Ce coureur prend la mesure de ce qui se passe autour de lui ; son intuition, son instinct le guident. Il voit s’il y a des concurrents dangereux, il observe, l’œil à l’affût ! Il ajuste et coordonne tous ses mouvements, ceux de dehors et ceux de dedans avec du cœur à l’ouvrage, son courage et sa niaque.

Car il s’est préalablement renseigné sur les lieux de la course avec la précision d’un métronome ! Il prend alors de l’avance sur un stress qui l’attend au coin de la rue, gagnant en espace mental. En effet, pendant l’entretien, il a compris qui était devant lui… et avec il allait évoluer. Selon celui qui est en face de lui, il y a ou non matching professionnel. Si oui, l’on se voit progresser ensemble dans la même direction.

Rappelons que la bonne foi aussi est une question cruciale, que ce soit dans le sport ou dans le monde de la recherche d’emploi.

Il entrevoit pendant sa course, petit à petit, ses aspirations désormais précisées grâce à la confrontation à son futur manager. Il entrouvre de nouvelles perspectives, des possibles, voire le trophée de sa victoire. Il émet aussi des réserves et des doutes, les temporisant ou se jouant du mélimélo ambiant. Il pose des questions sur ce qu’il doit effectuer, sur le contexte ambiant, sur l’activité en ellemême et ses perspectives d’évolution. En regard, il montre ses compétences grâce à ses réalisations probantes.

Puis, doucement, intègre tout cela en luimême ce temps, tire des leçons de toute sa prestation qu’il garde dans un coin de sa mémoire car il sait garder l’équilibre.

Au final : une question d’équilibre à tenir

Il comprend certaines constantes : qu’il convient de faire attention à l’alimentation pour rester en forme grâce à la diététique. Ne pas passer son temps devant l’ordinateur à manger des snacks en regardant Netflix ! Car l’abstinence est nécessaire. Ne pas non plus s’arrêter à la première désillusion. L’entourage joue contre cette dernière une très grande part : il lui faut toujours des supporters.

Et toujours se concentrer et rentrer en luimême pour gagner la course, le prix, celui dont on a rêvé et qu’on a caressé, parfois, en secret. Courir pour gagner la course à chaque instant, ne pas se laisser envahir par ses sentiments, ses émotions, son corps parfois capricieux, c’est un prix à payer afin de gagner sa place véritable ; là où chacun veut s’épanouir, durablement.

Il convient de garder à l’esprit le but à atteindre et de ne pas en dévier, quitte à faire des sacrifices louables et regarder vers l’avant : le meilleur reste à venir !

Le GAD 17

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